La mort nous veut du bien …
Arnold Böcklin – Selbstbilnis mit fiedeln dem Tod – Nationalgalerie Berlin
L’imaginaire de la mort, et de son crin-crin, du peintre Arnold Böcklin reste assez simpliste et conventionnel mais la musique vivante de la mort dans l’acte créatif est une bonne vision.
Entendre la mort n’est plus, depuis la destruction des juifs d’Europe, une possibilité actuelle en Europe. Même l’oreille du psychanalyste n’y entend, le plus souvent, rien.
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