D’une rive à l’autre

Le devoir de devenir

Ce que voile la beauté …

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 Arnold Böcklin-Die Toteninsel

Si l’on écarte le fatras des commentaires et des critiques de la culture politique (romantisme de pacotille sur la mort), il est parfois possible de saisir, à nouveau, l’intuition d’un créateur de formes.

 La beauté est le dernier barrage du plaisir contre l’infini de la mer. Franchir la limite c’est s’exposer à la jouissance mortelle – substance sans bornes qui trouve, parfois, une forme.

août 11, 2007 - Posted by | Jouissance

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