Ce que voile la beauté …
Arnold Böcklin-Die Toteninsel
Si l’on écarte le fatras des commentaires et des critiques de la culture politique (romantisme de pacotille sur la mort), il est parfois possible de saisir, à nouveau, l’intuition d’un créateur de formes.
La beauté est le dernier barrage du plaisir contre l’infini de la mer. Franchir la limite c’est s’exposer à la jouissance mortelle – substance sans bornes qui trouve, parfois, une forme.
Aucun commentaire pour l’instant.
Laisser un commentaire